Ca n’était pas encore arrivé cette année, nous avons hier soir fait la fermeture de l’Euroclub ! Mais aujourd’hui encore, j’ai zappé la générale famille, du coup j’ai pu dormir 8 heures. Un vrai luxe pendant l’Eurovision.
Pour profiter de ce paisible réveil et se mettre en jambes pour ce soir. Les merveilleux monstres Norvégiens Mørland & Debrah Scarlett.
La soirée a débuté avec la générale jurys de la seconde demi-finale. Je suis arrivé à la dernière minute mais c’était du coup assez confortable, on voit finalement mieux la scène quand on est légèrement à l’écart et qu’on peut prendre un peu de recul.
Générale d’autant plus réussie que le Portugal a eu un problème technique et a dû rechanter à l’issue du show. Deux prestations de Leonor pour le prix d’une ! L’Ethan était content…
Hier soir, Oikotimes fêtait ses 14 ans à l’Euroclub. Je ne comprend pas trop le principe, “soirée Oikotimes” serait je trouve moins ridicule, m’enfin on s’est tellement amusé qu’on va pas se plaindre.
Peu de temps après notre arrivée, Lisa Angell a chanté. Et elle s’en sort plutôt bien il faut avouer. Bizarrement c’est vrai, Lisa a su s’adapter à ce public “club”. Un club d’eurofans certes, mais c’est quand même une ambiance dans laquelle j’avais du mal à l’imaginer. Petit medley de chansons Eurovision puis évidemment N’oubliez pas, que je me suis surpris à chanter en choeur…
Une partie de la délégation est restée jusqu’au petit matin. Notamment les 4 tambours et Jérémy Parayre qui a commenté pour France O la première demi-finale.
Après Lisa Angell, nous avons entendu les TWiiNS Slovaques (l’occasion d’une pause cigarette) et la Grecque Eleftheria Eleftheriou. Puis après la (trop) longue intervention de Christiana Uikiza & The Euroclub Band, c’est Farouk qui a pris possession des platines jusqu’à 4h15 (on a un peu débordé…) et c’était super !
Une fois la fête terminée, cohue au vestiaire, devant, en guise de voiture balais, un attroupement d’agents de sécurité qui bloquaient l’escalier.
Retour à pieds pour Aïtor et moi, le temps d’arriver à l’appartement, le jour se levait…